11 septembre 2013
1900, L'Epoisses
En 1900, un certain abbé Patriatdédie un poème à l'Epoisses... " Regarde-moi, voyons, sa rougeâtre patineVois les pleurs épaissis qui coulent sur ses flancs,Sent ce fumet subtil adoré des gourmands,Et convient que c'est là dessert de haute mine. "