11 septembre 2013
1900, L'Epoisses
/https%3A%2F%2Fstorage.canalblog.com%2F63%2F91%2F201070%2F88626710_o.jpg)
En 1900, un certain abbé Patriatdédie un poème à l'Epoisses... " Regarde-moi, voyons, sa rougeâtre patineVois les pleurs épaissis qui coulent sur ses flancs,Sent ce fumet subtil adoré des gourmands,Et convient que c'est là dessert de haute mine. "